service au comptoir du cabaret). Durant toutes ces épreuves, Bernadette porte toujours sur elle un chapelet. Début 1857, à cause du chômage, les Soubirous revenus à Lourdes sont expulsés de la maison Rives
spécial avec le Sanctuaire Marial. Chaque consacré s’engage à réciter chaque jour une dizaine de son chapelet aux intentions des jeunes et des familles, après avoir renouvelé son alliance avec Marie au début
qu’il avait exprimé auprès de sœur Marguerite-Marie. La journée du 22 a commencé avec la prière du chapelet. Puis c’est avec une magnifique procession de bannières de saints de France, accompagnée de 15 prêtres
il partage pendant un mois l'œuvre missionnaire de mère Teresa de Calcutta, et il revient avec un chapelet offert par mère Teresa avec l'assurance de ses prières... Au retour, il obtient la permission d'une
apparitions sont silencieuses. La Dame invite Bernadette à faire le signe de la croix et à dire son chapelet . Le 18 février, la Dame demande à Bernadette de "lui faire la grâce de venir ici pendant quinze
aime chacune personnellement Thérèse Cornille marche avec Marie : elle la prie, récite souvent le chapelet , chaque jour, le jour et parfois la nuit lorsque le sommeil ne vient pas. Elle célèbre les fêtes
semble attendre leurs services. On s'agenouille et, après une invocation à l' Esprit Saint , le chapelet est récité. Le groupe compte un prêtre, un homme et une quinzaine de femmes de condition modestes
semble attendre leurs services. On s'agenouille et, après une invocation à l' Esprit Saint , le chapelet est récité. Le groupe compte un prêtre, un homme et une quinzaine de femmes de condition modestes
20 août 1649, la « Vierge apparaît » à Louise Le Cornec, dix-huit ans, pendant qu'elle récite le chapelet sous un arbre, à Plounevez-Quintin (France, Côtes-d'Armor). Elle entend [3] : « Dites-moi, ma fille
suggère encore cet invisible regard qui habite le jeune prêtre, quand peu de temps après, tenant son chapelet à l'heure de sa mort, le jeune curé murmure : «... tout est grâce ». [5] [1] Georges BERNANOS, Journal