« O Vierge, ma tendre Mère, pour Jésus qui doit venir, rendez mon cœur humble comme une violette et blanc comme un lys très pur. »
(Marthe Robin, 3 janvier 1930)[1]
« A vous, Ô Jésus, tout mon 'merci', toute ma reconnaissance et mon amour, pour votre divine Eucharistie, centre de toute l'économie surnaturelle, vers lequel tout converge et d'où se répand en surabondance la Vie, une Vie sans cesse renouvelée. Merci encore à vous, Vierge Marie, dont le Fiat indispensable nous a valu ces sublimes réalités. »
(Marthe Robin, 21 Juillet 1932)[2]
« Dans ma communion, j'ai bien demandé, ô Jésus, de bénir mon père, ma maman chérie [...] je recommande à Dieu et prie pour tous les prêtres que je connais [...] je nomme tous mes amis [...] les cœurs affligés, les agonisants, les âmes du purgatoire, pour les besoins de la Eglise, pour le souverain pontife, pour la guérison morale de la France.
Ô Jésus, vous vous donnez tout à moi, mais je suis toute à vous. [...]
Ô Jésus, permettez que les sublimes vertus de Marie descendent et fructifient dans mon cœur. Et maintenant, o mon Dieu, laissez-moi vous louer avec la foi, l'amour, l'abandon et la flamme de vos divins attraits. »
(Marthe Robin, 18 Août 1930)[3]
[1] H-M Manteau-Bonamy, Marthe Robin sous la conduite de Marie, 1925-1932. ed. Saint Paul,Versailles, 1995, p. 38
[2] Ibid., p. 74
[3] Ibid., p. 100