Marie de Nazareth
À Jésus Par Marie
C'est logique et c'est aussi de plus en plus prouvé.
Voir par exemple cet article d'EECHO qui montre que la traduction en grec du mot "paix" (eirene) a créé une ambiguïté qui n'existait pas en araméen où l'on distingue la paix intérieure (shlama) de la paix extérieure (shayna)
Le même type de constat peut se faire sur d'autres mots comme "Seigneur" (kurios) qui sert à traduire des mots plus variés en araméen : Mari (Seigneur) ou Mari-ia (Seigneur Dieu) attribué souvent à Jésus.
Bref, de l'oralité à l'écrit araméen, il y a naturellement une perte, et de l'écrit araméen à sa traduction en écrit grec, il y a une autre perte, même si l'Esprit Saint peut aussi faire surgir de nouveaux sens avec le génie propre de chaque langue.