T’sing Yang

T’sing Yang

Dans le district d’Ousi, en août 1902, près d’un sanctuaire local dédié à Notre-Dame de Lourdes, une femme mourante "voit une dame à côté d’elle, vêtue de bleu, entourée d’une grande lumière". Et elle entend : "Votre maladie est très grave, mais si vous voulez guérir, envoyez chercher de l’herbe au sanctuaire de T’sing Yang. […] C’est au sanctuaire de la Vierge qu’il faut aller et non à la pagode [...] et prendre n’importe quelle espèce d’herbe." Elle envoie son mari au sanctuaire, boit la tisane qu'il lui prépare avec l'herbe prise là, s’endort et se réveille guérie. Les villageois accourent.

Le 11 février 1903, la voyante raconte son expérience devant plusieurs centaines de personnes.

En 1913, un sanctuaire est érigé. Deux mille personnes s’y rendent.

Le régime communiste a détruit le sanctuaire.


Cf. R. Kling, « Les apparitions de T’sing Yang, 1902 », Rosa Mystica, no 31, mai-juin 1980, 13-16.

La pastorale des sanctuaires en Asie

Cf. La partie : Le culte de Marie (doctrine)