La mort est appelée par les anciens « Dies natalis », le jour de la naissance (à la vie éternelle) ; le père Daniel Ange adapte en parlant « l'en-ciel-lement ».
La tradition de l'Eglise a médité sur la présence de Marie (et de Joseph) auprès des agonisants, comme elle a été présente, douloureuse et compatissante pendant l'agonie de son Fils crucifiée. Et nous vous offrons un certain nombre de témoignages.
La tradition de l'Eglise a aussi médité sur la présence de Marie dans l'au-delà de la mort, durant le grand passage où les morts entendent la voix du Fils de Dieu (Jn 5, 25) et où la Bonne nouvelle leur est annoncée en toute lumière, qui est aussi l'heure du choix ultime, du « jugement ».
Ce sont donc deux approches distinctes, qui néanmoins se rejoignent et se complètent.
Introduction par F. Breynaert