Chacun de nous a besoin de se sentir aimé, mais nous avons aussi besoin d'aimer, aimer à la folie, aimer jusqu'à souffrir par amour et sentir que notre amour est grand. Le père Kolbe a osé prendre ce chemin et viser un amour de cette profondeur...
Rien de très important dans les affaires de Dieu ne se fait sans souffrance. D'ailleurs, peut-il exister un sacrifice trop dur lorsqu'il s'agit de l'Immaculée ?... Et si nous ne cessons pas dans la lutte pour conquérir le monde à l'Immaculée, les souffrances n'arrêteront pas de fondre sur nous... Mais jusqu'à la mort seulement. Après, c'est la résurrection !
St Maximilien Kolbe, 12.07.1935
L'amour de l'Immaculée ne consiste pas seulement dans un acte de consécration récité même avec une grande ferveur, mais dans le fait de beaucoup souffrir de privations et de travailler pour elle sans arrêt.
St Maximilien Kolbe, 10.02.1937
L'Immaculée désire que nous non seulement nous travaillions, mais que nous souffrions pour elle. C'est un immense champ de travail à travers la souffrance. Les petites croix de chaque jour doivent être supportées calmement, c'est cela, se donner à l'Immaculée.
St Maximilien Kolbe, 17.01.1937
Ne cherchons pas toujours à ressentir la douceur de la dévotion à l'Immaculée, car ce serait une avarice de l'esprit. Pour nous aussi, il faut des épreuves, des sécheresses et des abandons, etc. Permettons-lui donc, autant qu'elle veut, d'appliquer les moyens pour notre sanctification.
St Maximilien Kolbe, 09.04.1933
[Cherchons à] permettre à l'Immaculée d'agir par tous les moyens... que ce soit dans le commerce, l'industrie, le sport, etc.
St Maximilien Kolbe, 02.12.1931
Synthèse F. Breynaert