Paul Lemoyne. L'Espérance s'appuyant sur une ancre, 1826.Marie-Lan Nguyen / Wikimedia Commons / CC-BY 3.0.
Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (1673-1716), dans son Cantique 7, § 1.2.3.15, a composé cette proposopée de la vertu d’Espérance.
« Je suis la vertu d’espérance,
Qui fait qu’on attend du Seigneur
La grâce et puis sa récompense
Par les mérites du Sauveur.
Je suis cette ancre ferme et stable
Qui fixe l’instabilité,
Cette colonne inébranlable
Qui soutient toute sainteté.
Je tire toutes mes richesses
D’un Dieu tout plein de vérité,
Fidèle à toutes ses promesses,
Dans le temps et l’éternité…
Avec moi tout devient facile :
On est content, on est joyeux,
On est un aigle, on est agile,
On a des ailes pour les cieux. »
Source:
-Saint Louis-Marie Grignion de Monfort, Cantique 7, § 1.2.3.15.
-sur Saint Louis-Marie Grignion de Monfort, dans l'Encyclopédie mariale
-sur l'espérance, dans l'Encyclopédie mariale
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